dimanche 28 janvier 2007

Une petite vidéo qu'on aime bien

Et qu'on n'a pas vue assez ouvent à mon goût. Elle est aussi disponible sur le site de AIDES, le site d'origine, mais le format m'a semblé moins bien que sur Daily Motion, donc voilà, cadeau :






Egalement sur le site de AIDES, la version "mainstream", sympa aussi mais que je trouve moins réussie. On se demande bien pourquoi. Serait-ce que je m'identifierais surtout avec les protagonistes de Sugar Baby Love ? Rhôôôôô, vous croyez ? Bon, pourquoi pas, mais LEQUEL des protagonistes ? Franchement, je m'interroge. Je vous préviens quand même : les commentaires les moins charitables seront censurés.

vendredi 26 janvier 2007

Les misérables. La pub Acadomia, c'est vraiment la zermi, hein M'sieur ?

Non seulement le RER B est d’une laideur à frémir, sombre, glauque, vieillot, mais voilà que dorénavant on enjolive les voyages des Travailleuses, Travailleurs, par cette pub-là.
C’est pour des cours à domicile. C’est aussi moche à hurler. Y’a de quoi flanquer des cauchemars à des générations de gosses. Quel est le panel de consommateurs qui a sélectionné ÇA parmi, certainement, tout un tas de trucs pondus par des créatifs en folie ? Ou alors ils ont fait ça dans la boutique, direct, à l’économie. Comme Joseph Gibert autrefois et ses pubs merdiques qui sentaient bon le fait-maison amoureusement bricolé par le vieil employé, économe et daltonien. Quels parents tarés peuvent être stimulés par cette pub pour confier leurs gosses à ces gens-là ? Quand on pense que Victor Hugo est vénéré par les caodaistes du Vietnam comme un de leurs guides spirituels. Une fresque comme ça, ça vous a une autre gueule, non ? Victor Hugo c’est celui du milieu avec le bicorne. Bon, c’est pas hyper, hyper ressemblant non plus, mais ça fait quand même moins peur que l’autre vilainerie, je trouve (oui, oui, je me prépare à l’éventualité de l’élection de Ségolène).

mardi 23 janvier 2007

Tabernac’ Ségolène !



Soyons un gentleman. On ne va pas s’appesantir sur la déclaration de Ségolène sur le Québec. Comme on dit là-bas, TF1 a largement fait sa job en répétant à loisir que c’était une bourde. France 2 l’a fait plus soft ; c’est bizarre, se préparent-ils en douce à des lendemains qui chantent ? Non, non, n’accablons pas la malheureuse. Réparons plutôt une injustice : on a tellement parlé de Ségo qu’on a complètement passé sous silence André Boisclair qui venait la visiter. Il est important de souligner qu’il s’agit là du Président du Parti Québécois, Chef de l’opposition officielle de la Belle Province. Ce n’est pas n’importe qui. Quand on sait en plus qu’il est, selon l’expression consacrée « ouvertement homosexuel » (même Wikipedia sait que c’est ça qu’il faut savoir sur André) on se dit qu’on a raté des angles dans le reportage, là, coco. Bien sûr, sa beauté est bien un peu trop léchée, à l’américaine, ça sent ses heures de gym quotidiennes et son hygiène de vie en acier. Mais, après tout, même si celà nous chagrine sottement, nos lointains cousins sont des Nord-Américains et l’André Boisvin, sous toutes les latitudes, est quand même un bien beau bébé, non ?. Deux choses m’attristent tout de même beaucoup à propos de Dédé : la première, il est né en 1966 (quoi ? y’a pas une erreur ? 1946 OK, 1956 à la rigueur, mais 1966, vous vous rendez compte ?). La deuxième : le sigle de son parti est le PQ. Là, je m’élève. Dédé, s’il te plait, marque ta différence, dis-leur que t’es pas une chichiteuse, mais qu’un nom pareil c’est, vraiment, vraiment pas possible.

dimanche 21 janvier 2007

L'autre 11 Septembre et la spiritualité de Ségolène

En cette période pré-électorale française caractérisée par la médiocrité des candidats et leur usage approximatif de la langue française*, me sont revenues en mémoire les dernières paroles de Salvador Allende. 11 Septembre 1973. Coup d’Etat au Chili. Salvador Allende, démocratiquement élu en 1970 est assiégé dans le palais présidentiel de La Moneda par les putschistes dirigés par Augusto Pinochet. Le petit groupe réfugié dans le palais résiste tant bien que mal aux assaillants équipés de tanks et de mitrailleuses lourdes. Lorsque l’aviation commence à bombarder le palais, il devient clair que la bataille est perdue. Allende demande alors à ses partisans de quitter les lieux et de se rendre, disant qu’il sera le dernier à sortir. Il va, en fait, se suicider. Auparavant, il improvisera au téléphone, alors que les bombes tombent autour de lui, un dernier message radiophonique d’une rare qualité, pour ne pas dire d’une rare beauté poétique : « Trabajadores de mi patria: tengo fe en Chile y su destino. Superarán otros hombres el momento gris y amargo, donde la traición pretende imponerse. Sigan ustedes sabiendo que, mucho más temprano que tarde, se abrirán las grandes alamedas por donde pase el hombre libre, para construir una sociedad mejor». Je préfère ne pas traduire, car je ne saurais pas rendre la beauté de ces mots, mais l’intégralité de ses émissions radiophoniques de ce jour-là, et leur traduction française (approximative) sur : cesite

* Après le coup fumant de la bravitude, voir la déclaration de Ségolène sur le « bon mot » de Montebourg (que les communiquants de Sarkozy ont baptisé « la Montebourde ») : "On peut dire des bons mots, faire preuve de spiritualité, mais sans blesser ou sans dénigrer". Etre spirituel est une chose, « faire preuve de spiritualité » n’est quand même pas tout à fait pareil…. Détail : le Président de la République n’est-il pas le « Protecteur de l’Académie Française » ?

samedi 20 janvier 2007

M'enfin ?

J’adore courir dans Paris au petit matin, avant qu’il ne fasse jour. La poésie du bitume scintillant de la rosée du matin, la place de la Concorde déserte, les avenues endormies, j’en parlerai une autre fois. Là, je voulais rapporter un incident qui m’a intrigué. L’autre jour, alors que je passais non loin de la caserne de pompiers à côté de saint Eustache, je me suis fait arrêter en pleine course par un jeune mec un peu éméché. A une heure aussi matinale (7 heures), je compatis avec les pauvres hères qui n’ont personne d’autre auprès de qui chercher assistance (les japonais, aussi, aiment bien arrêter les joggeurs en pleine course (j’en parlerai une autre fois)). Donc, ce jeune mec m’arrête avec des grands signes et me dit « hé M’sieur, vous êtes pompier ? ». Un peu interloqué, mais aussi trop flatté que l’on puisse prendre ma sobre tenue de jogging (bermuda noir, haut Quiksliver beige avec des bandes bleu marine sur les épaules qui font, c’est vrai, un tout petit poil militaire), je ne le démentis pas… Il bredouilla qu’il était lui-même pompier volontaire dans son bled et qu’il cherchait la rue du Louvre. Un jeune provincial perdu dans Paris, quel émoi ! Il titubait bien un peu, mais il était tout ce qu’il y a de lucide, j’insiste ! Il m’a vraiment pris pour un pompier, ouah, hé, la classe. De quelques gestes sobres de la main et avec une économie de mots toute militaire, je le mis sur le bon chemin. Je repris ma course gonflé à bloc, bombant encore plus le torse, le menton haut et mussolinien pour l’édification des quidams, bien peu nombreux à cette heure là il faut le dire, mais bon. Hors donc, je repasse dans le même coin ce matin, et je tombe sur un clodo en train de ranger son bordel de sacs plastiques sur le trottoir de la rue Montmartre. Un vrai gros clodo à la Franquin (m’enfin ! compris le clin d’œil ? faut tout leur expliquer), avec un bon gros tarin couleur framboise, une tignasse ébouriffée en feu d’artifice, d’énormes bajoues couvertes d’une barbe gris-blanc, la totale. Il m’a clairement vu arriver, toujours avec mon bermuda noir et mon haut Quiksilver que ça me donne l’air d’un pompier sportif. Je passe lentement à sa hauteur pour ne pas déranger son chantier. Surprise, à mon passage, le gars me fait sa plus belle révérence (un peu flageolante, mais quand même pas mal) et me gueule d’une voix de stentor imbibée à la grosse vinasse: « excusez moââââââââ, mais je préfère les dââââmes !! ». Comment font-ils pour avoir des voix pareilles ? J’ai eu à peine le temps de revenir de ma surprise pour lui lâcher « elles ont bien de la chance, les dames ! », je n’ai pas entendu la suite car ma course véloce m’avait déjà trop éloigné. Comment est-il possible que l’on me prenne, dans la même tenue, une fois pour un pompier viril et sportif qui fait son jogging matinal (good) et une autre fois pour Véronique-et-Davina qui gambadent en petites foulées (not so good)? Qui des deux imbibés avait le plus sûr coup d’œil ? Si quelqu’un a l’adresse d'un bon coach de relooking, ou de la fashion police, je suis preneur. Merci.

mardi 9 janvier 2007

Abd Al Kader (ou comment, pour une fois, je n’ai pas perdu mon temps à regarder la télé)

Sans jamais en avoir réellement parlé, le nom d’Abd El Kader est implicitement dans ma famille, comme, certainement dans toutes les familles pied-noirs, pour ne pas dire françaises, associé à la lutte des algériens contre la France. On a vaguement entendu parler de la prise de la smala d’Abd El Kader, on l’imagine à la tête de bandes mal équipées face à l’armée de Bugeaud, et, fatalement plein d’une haine et d’un ressentiment à l’égard de la France, dont le pouvoir algérien actuel sait si bien se servir à l’occasion. J’ai découvert à l’occasion d’un documentaire diffusé sur TV5 Monde et réalisé par un des descendants de l’Emir un tout autre personnage. Un grand mystique soufi, plein d’amour pour son prochain, musulman, chrétien ou juif. Un personnage qui a dû rendre les armes en 1848 après 17 ans d’une lutte atroce contre les français et qui a été exilé à Amboise alors qu’on lui avait promis un exil en Orient. Au bout de 4 ans il a été libéré par le prince président Louis-Napoléon et s’est installé à Damas où il a, pendant plusieurs dizaines d’années mené la vie d’un grand propriétaire terrien et chef spirituel. Autorité musulmane de premier plan, il a pourtant sauvé d’un massacre des milliers de chrétiens de Damas. Il s’est intéressé aux progrès technologiques de son époque (tel le canal de Suez) et plus largement, il se voyait comme un pont entre l’Orient (la spiritualité) et l‘Occident (le progrès technologique). Il avait demandé à être enterré à Damas près de Cheikh Mohieddine ibn Arabi al Andaloussi, son maître spirituel. Son tombeau y est toujours, mais ses cendres ont été ramenées en Algérie en 1966, il est enterré dans le carré des martyrs de la Révolution au cimetière d’El Alia à Alger. Bien sûr, son rôle dans la formation de l’identité algérienne, contre la France et contre les Ottomans, a été fondamental et il est normal que l’Algérie en ait fait son héros national. Mais j’ai découvert un personnage mille fois plus complexe, riche et clairvoyant que je ne le croyais. Le présenter comme le rebelle devenu l’« ami de la France » comme le faisaient les manuels scolaires de l’époque coloniale est réducteur et paternaliste. Cependant, le documentaire de son descendant montre aussi à quel point le pouvoir militaire algérien a manipulé la mémoire de l’Emir, en occultant toute son œuvre et tout son cheminement après 1848. Souligner ce qu’il avait de progressiste, d’humaniste et de visionnaire rendrait pourtant un immense service aux descendants des protagonistes de toute cette histoire.

samedi 6 janvier 2007

Hollywoodland

Que dire de bien à propos de ce navrant, interminable et confus navet ? Franchement rien à garder, les images sont moches, les acteurs minables(hormis Bob Hoskins dans son rôle de toujours), les flash-backs incessants, le scénario inutilement alambiqué. A éviter absolument, sauf pour dormir, éventuellement, mais il y a quand même un peu de bruit de temps en temps. Pas les réactions des spectateurs, non, ils roupillent ferme eux aussi, mais des coups de feu de temps à autre. On vous aura prévenu !
Pour plus de détails :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59735.html


La video de Sarko

La vidéo de Sarkozy pour ses voeux 2007 est un assemblage de plagiats de spots publicitaires assez extraordinaire.
On y repère une copie approximativede la pub pour Evian (facile, le bébé à poil dans l'eau), une compagnie d'assurances dont on a oublié le nom (l'enfant qui fait lance sa maquette d'avion), l'iPod de Sony, et plein d'autres merveilles réalisées par les as de la pub française télévisuelle. Saurez-vous en trouver d’autres ?
L’idée des communiquants de l’UMP c’est quoi ? Agir sur le subconscient des clients de TF1 pour les faire se sentir aussi au chaud à l’UMP que quand ils regardent Lagaf’ vautrés sur leur canapé ? Attention quand même avec ce spot au phénomène spontané de rejet : quand les pubs apparaissent, la plupart des téléspectateurs se précipitent pour faire autre chose (zapper, bouffer, pisser, ou baffer les gosses, par exemple).
PS: après quelque investigation, il semble que cette vidéo date en fait de Mars 2006. Mea culpa, ce n'est donc pas celle des voeux 2007, mais elle vaut quand même son jus, non ?.






jeudi 4 janvier 2007

Pourquoi ce blog ? (Why ? Oh why ?) 2

Suite :

je commence à réaliser que la qualité première d'un post est sa brièveté. Rien de pire que des élucubrations interminables au seul usage de l'auteur. Pensons d’abord au lecteur ! Mettons donc en pratique ces fortes pensées et arrêtons nous là pour aujourd'hui.



mardi 2 janvier 2007

Pourquoi ce blog ? (Why ? Oh why ?)

Maintenant que ce blog est créé n’est-il pas temps de se demander pourquoi je l’ai créé ? Plusieurs idées :

- servir de journal intime. Quoi de plus intime qu’un truc publié sur Internet ?

- partager mes idées avec la terre entière. La terre entière a-t-elle vraiment besoin de mes idées ?

- assouvir le plaisir d’écrire. Comme tout le monde, l’envie d’écrire me travaille de temps en temps. N’est-ce pas pour partager des choses que l’on trouve impossible ou malaisé de partager avec les autres dans la vie réelle ? On se dit qu’en décrivant par le menu ses joies ou ses peines, on le fera de façon plus étayée qu’on ne le ferait oralement (pour être honnête, ça laisse aussi la possibilité de se reprendre, pour ne pas dire d’enjoliver un poil les choses). Si vraiment j’ai envie d’écrire je peux le faire sur le papier ou sur un document que je garderai rien que pour moi (et mes futurs lecteurs après ma mort, sans aucun doute). Pourquoi le mettre sur Internet ?

- pour échanger avec d’autres : voilà la seule réponse convaincante et honnête que je peux trouver sur le point d’entrer dans la blogosphère. Partager des commentaires, lire ce qu’on posté les autres sur un même sujet, être au courant des derniers trucs intéressants, etc… Ca doit être pour ça que j’ai créé ce blog.



J’ai parcouru des dizaines de blogs, j’ai aussi lu ce que trois prédécesseurs ont écrit sur la question existentielle « pourquoi je bloggue " (Les Tamaris, Matoo et Xiii. Pour ce dernier, faudra que je retrouve le post qui m'avait bien plu.).
Ca m'a donné des pistes de réflexion, mais pas vraiment de réponse ferme (qui celà étonnera t'il ?).

Des défauts et qualités que j’ai pu dégager du foisonnement de blogs, il me semble que « partager » veut dire plusieurs choses : rester concis (c’est mal parti, peut-être…), être clair pour les lecteurs (ils ne vont pas deviner qui est le Manu si on ne le leur dit pas), rester prudent dans ce que l’on écrit (penser aux lecteurs futurs, connus ou inconnus, qui pourront tomber sur mes histoires plus ou moins scabreuses), et surtout être INTERESSANT. C’est là le gros défi, comment être intéressant pour être lu ? Zat is zeu couestionne. A ce stade, je ne sais fichtrement pas comment je vais pouvoir faire vivre ce truc, si dans 2 semaines je n’en aurai pas déjà marre de ne pas savoir quoi écrire, d'y passer trop de temps pour rien, de m'énerver parceque je je ne saurai pas faire tous ces trucs cool comme mettre une blog-radio, des vidéos, des machins divers. Trop tôt pour s'enthousiasmer ou désespérer. On se calme, time will tell.







lundi 1 janvier 2007

Le Musée du Quai Branly

Les vacances se doivent d'être culturelles. Bien. J'ai, à mon grand regret, été franchement déçu par la visite du Musée du Quai Branly (futur Musée des Arts Premiers Jacques et Bernadette Chirac). L'architecture du bâtiment est intéressante, même si on n'a pas envie de trop explorer les détails vu le froid affreux qu'il faisait ce jour-là, donc plutôt démarré dans la joie. Las ! dès l'entrée on est frappé par le manque d'organisation. Une queue interminable de consommateurs chemine lentement en file indienne entre des cordelettes. Des files "prioritaires" sont empruntées par toutes sortes de gens qui s'estiment prioritaires pour une raison ou un autre ("j'ai un gros handicap" (OK), j'ai des enfants moi Monsieur (mouais), ou bien plus simplement "vous n'avez pas idée comme je suis un personnage important" (passez donc, not'bon maître, dégagez, manants !), sans que les gardiens n'interviennent bien efficacement. Clou du sketch : brutalement, tous les guichets de vente de billets ferment sans explication. Il faut que finalement un des moutons congelés ose poliment (on ne sait jamais quoi attendre d'un détenteur de l'Autorité) demander à un des gardiens ce qui se passe pour comprendre que le musée étant trop plein, on va ettendre qu'une partie de gens sortent. Pourquoi ne pas l'annoncer sur les écrans vidéos ou au haut-parleur ? Mystère..
Une fois à l'intérieur, on trouve un lieu sombre, un parcours confus "balisé" par des sortes de gros boudins en plastique façon caverne pour enfants chez Disney. Pour ce qui est des oeuvres exposées, c'est une acumulation d'objets allant de la statue monumentale d'une dvinité majeure, de la pure merveille d'artisanat, à des trucs et des machins (style paniers en vannerie) des plus inintéressants. On se demande ce qu'ont en commun tous ces objets, sinon d'être non Européens. C'est le seul point commun que j'ai pu leur trouver. Bien sûr, il y a des chefs d'oeuvre en pagaille mais l'accumulation de bric et de broc et la foule des vacanciers donne le tournis et on ressort de là plutôt content que ces soit fini.

UN BIEN MEILLEUR PLAN offert gracieusement à l'assistance publique (oui, c'est pas ma faute, j'ai rétentendu hier Le Sar Rabindranath Duval : allez plutôt voir au Musée du Louvre la galerie "Arts d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques".
C'est une sélection de purs chefs d'oeuvre (certains sont d'ailleurs partis Quai Branly,
mais ont été remplacés par d'autres tout aussi bien) On espère qu'ils vont rester là car cette salle n'est pas référencée sur le site Web du Louvre..., d'ici à ce que tout celà déménage, on craint le pire !!! Ce serait bien dommage. L'entrée de cette caverne d'Ali Baba est Porte des Lions, il y a nettement moins de monde que sous la pyramide pour prendre les billets et une fois dedans on navigue tranquillement pendant que les foules se pressent Quai Branly...